Jacquiline den Houting, Neurodiversity: An insider’s perspective, Autism, Vol. 23(2), pp. 271–273, 2019 (Lien vers la source, accès gratuit).
Pour information, l'auteur·e se présente, à notre connaissance, comme étant sur le spectre de l'autisme.
Jacquiline den Houting, Neurodiversity: An insider’s perspective, Autism, Vol. 23(2), pp. 271–273, 2019 (Lien vers la source, accès gratuit).
Pour information, l'auteur·e se présente, à notre connaissance, comme étant sur le spectre de l'autisme.
Elizabeth Pellicano, Jacquiline den Houting, Annual Research Review: Shifting from ‘normal science’ to neurodiversity in autism science, Journal of Child Psychology and Psychiatry, 63(4), pp. 381–396, 2022 (Lien vers la source, accès gratuit).
Pour information, une partie des auteur·e·s se présente, à notre connaissance, comme étant sur le spectre de l'autisme.
Depuis sa description initiale, le concept d'autisme est fermement ancré dans le paradigme médical conventionnel de la psychiatrie des enfants. De plus en plus, il y a eu des appels de la communauté autiste et, plus récemment, des chercheurs non-autistes, pour repenser la façon dont la science de l'autisme est encadrée et conduite. La neurodiversité, où l'autisme est considéré comme une forme de variation dans une diversité d'esprits, a été proposée comme un paradigme alternatif potentiel. Dans le cadre de cet examen, nous nous concentrons sur trois grandes remises en cause du paradigme médical conventionnel – un accent sur les déficits, un accent sur l'individu plutôt que sur son contexte plus large et l'étroitesse de la perspective – chacun qui limite nécessairement ce que nous pouvons savoir sur l'autisme et la façon dont nous pouvons le savoir. Nous décrivons ensuite la façon dont les éléments fondamentaux du paradigme de la neurodiversité peuvent aider les chercheurs à répondre aux limites du modèle médical. Nous concluons en examinant les implications d'un changement vers le paradigme de la neurodiversité pour la science de l'autisme.
Since its initial description, the concept of autism has been firmly rooted within the conventional medical paradigm of child psychiatry. Increasingly, there have been calls from the autistic community and, more recently, nonautistic researchers, to rethink the way in which autism science is framed and conducted. Neurodiversity, where autism is seen as one form of variation within a diversity of minds, has been proposed as a potential alternative paradigm. In this review, we concentrate on three major challenges to the conventional medical paradigm – an overfocus on deficits, an emphasis on the individual as opposed to their broader context and a narrowness of perspective – each of which necessarily constrains what we can know about autism and how we are able to know it. We then outline the ways in which fundamental elements of the neurodiversity paradigm can potentially help researchers respond to the medical model’s limitations. We conclude by considering the implications of a shift towards the neurodiversity paradigm for autism science.
Référence citée dans cette publication qui fait également l'objet d'un article sur le blog 0t1dakt: